Autel majeur et chandeliers de l’orfèvre Goudji, tapis du huitième centenaire du lissier Lelong. Un habitué du 'seuil', auquel les passants laissent quelques pièces, Portail royal. Vue depuis les bords de l’Eure, Assiette d’étain - avec cathédrale en relief. Il fallut ainsi bâtir d'énormes murs de soutènement au nord, pour empêcher les glissements de terrain, et au midi pour supporter le terre-plein du cloître actuel. C'est l'accueil et la circulation des foules qui ont déterminé la structure de l'abbatiale. Cette base, a été réalisée à partir des registres matricules et des tables alphabétiques de la conscription, tenus par l'autorité militaire de 1867 à 1940. Elles le contrebutent sur toute sa longueur, jouant le même rôle que les arcs-boutants gothiques, mais de manière continue. Ses matériaux servirent alors de carrière aux habitants du village et Prosper Mérimée arriva quelques années trop tard pour le sauver. Tableau souvenir, peint à la main - Vers 1900. Car si l'emplacement choisi à l'origine par Dadon convenait à un ermitage, il ne se prêta, par la suite, que fort mal à l'édification d'une abbaye et d'une église de l'importance de celle-ci. Au-dessus des collatéraux, leurs voûtes en quart de cercle viennent s'appliquer à la naissance même du grand berceau de la nef et des croisillons, de chaque côté, à l'endroit où les poussées sont les plus fortes. Sur la quatrième pile nord de la nef, un chapiteau est consacré à la condamnation de sainte Foy, victime des persécutions de l'empereur Dioclétien. Sous les retombées d'une arcature suggérant un décor architecturé, est figurée la scène traditionnelle au cours de laquelle l'ange Gabriel, identifié par une inscription gravée sur sa banderole, s'incline légèrement dans une attitude de respect et s'adresse à la Vierge Marie. En raison de sa vocation à l'accueil des pèlerins et au culte des reliques de sainte Foy, elle est qualifiée d'église de pèlerinage. L'œuvre alors réalisée est considérable : reconstitution de la colonnade du chœur, reconstruction des voûtes, etc. Vers 1900, Décor d’un broc - pour la livraison du lait frais. Les tribunes offrent des vues plongeantes, d'un effet saisissant. Samedi 7 mai 2011, vers 11h30. Les premières campagnes de travaux se soldèrent par l'édification des parties basses du chevet, abside et absidioles notamment, dont les murs se caractérisent par l'emploi d'un grès de couleur rougeâtre, extrait des carrières de Combret, dans la vallée du Dourdou. Une trentaine de chapiteaux provenant des arcades disparues sont exposés dans la salle lapidaire au sous-sol du musée Joseph-Fau. Carte 'belle époque' : fleurs de printemps et nœud rose - Vers 1910. Même intitulé et même ambiance fleurie - Vers 1920. La majorité d’entre eux date du XIX° siècle - remplacés suite à l’incendie de 1836, L’une des feuilles a été remplacée par une tête monstrueuse, Une vue du chœur (ici avant restauration - éclairage pour les fêtes de Pâques 2009) permet de situer l’emplacement des deux grands lustres en bronze doré, réalisés par Louis Prieur, Sur le pavement du XVIII° siècle, alternant carreaux noir et blanc, on voit encore, exactement à l’aplomb des lustres, plusieurs fractures provoquées par la chute de ces derniers, Lors de travaux, vers 1900. Ce plan cruciforme à chapelles rayonnantes est dans ses grandes lignes, celui des églises dites « de pèlerinage » comme Saint-Sernin de Toulouse ou Saint-Jacques de Compostelle. À partir d’un cliché numérique. Le père Lemarié avait proposé d’y voir le miracle de Fulbert, guéri par le lait de la Vierge, Le registre supérieur semble indiquer une acclamation pontificale, Sur un mur latéral, un très beau visage de Marie, dans une scène d’annonciation, Le vitrail de Saint Jean, de type narratif, fait partie du large ensemble prévu pour les fenêtres de la cathédrale gothique au début du XIII° siècle, et qui fut réalisé parallèlement au gros œuvre, Saint Jean boit une coupe vénéneuse, qui lui est présentée par un magicien, Le Christ apparaît à saint Jean, pour lui dévoiler la date et les conditions de sa mort, Détail du cliché 22 - Vue rapprochée et restitution partielle par logiciel informatique, Détail du cliché 23 - Vue rapprochée et restitution partielle par logiciel informatique, Portail nord. Veillée pascale 2010 : à la lumière d’un cierge, le livret de la célébration. Par la qualité de la pierre utilisée - une serpentine de coloration vert foncé - comme par la beauté de son ordonnance et de son décor sculpté, ce bassin, malheureusement privé de sa vasque centrale, représente un monument sans équivalent connu dans tout l'art monastique. Les travaux de consolidation réalisés il y a une trentaine d'années par les architectes des Monuments historiques ont permis une meilleure connaissance de cette partie de l'édifice, de ses vicissitudes et de ses transformations. Souvenirs personnalisés 'homme' et 'femme' : 'De chartres, je vous envoie…' - Vers 1920. Rien n’arrête les artistes amateurs, Dans un livre jeunesse, évoquant les chantiers des cathédrales [éd. La coupole romane de la tour lanterne, lancée trop hardiment au-dessus de la croisée du transept s'effondra à une date inconnue. Michelle YEOH, Jean TODT, Raniero CANTALAMESSA, Andy HUNTER. Ainsi, dans le croisillon sud, le « cycle de saint Pierre » occupe trois chapiteaux avec l'arrestation, la délivrance et la crucifixion du prince des apôtres, la tête en bas. Leur fonction est beaucoup plus architecturale qu'utilitaire puisqu'elles assurent en fait, la stabilité de l'ensemble du monument. De part et d’autre de l’autel, le 29 août. Latéralement, rien ne vient interrompre la verticalité des contreforts qui montent d'un seul jet jusqu'aux toitures. Cette période de confinement a, vous le savez sûrement, profondément impacté les ressources du Rectorat de la Cathédrale. 'Zone de vie' des chantiers de restauration, Photographie - 1905. Ces images de pierre, appréhendées d'un point de vue stylistique, permettent de suivre et de comprendre l'avancement du chantier, d'est en ouest. Cette place a toujours offert l’un des meilleurs points de vue sur la cathédrale. 1927. Puis, en analysant cette architecture si propice à la prière, il découvre vite qu'elle s'exprime dans les formes les plus simples possible : le plein cintre pour les arcs, des verticales pour les supports, sans aucun ornement pour en atténuer la rigueur et la sévérité en dehors des chapiteaux. Un stability permet d'espérer un gain conséquent en peu de temps. Les célébrants accueillent les baptisés, nouveaux ‘enfants de Dieu’, Une heure du matin. Trophée d’un concours de pétanque, Assiette de porcelaine - avec dessin de cathédrale en couleur sépia, Boule à neige. Depuis une table du ‘Cloître Gourmand’, par la fenêtre. Un grand classique du souvenir touristique, Dé à coudre. L'ensemble de la voûte, sur croisée d'ogives porte un décor peint caractérisé par l'association de thèmes religieux et profanes (à base de grotesques), exécuté au début du XVIᵉ siècle, pour le compte de l'abbé Antoine de Marcenac. Carte souvenir artisanale 'faite maison'. Par la suite, aucun document ne permet de préciser le rôle exact joué par l'abbé Boniface, son successeur, dans le premier tiers du XIIᵉ siècle. Touristes au portail nord - Chartres émergeant d’une steppe aride. LeJeudi 5 mai 2011, vers 10h. Inscription de 1979, commémorative du classement au patrimoine mondial - jardins de l’évêché. Les portes telles que les imaginent les enfants, au retour d’une visite de la cathédrale, Depuis une table du 'Cloître Gourmand', par la fenêtre, À l’étage de la flèche romane, fenêtre vers le parvis, À l’étage de la flèche romane, fenêtre vers la flèche Jehan de Beauce / Cl. deux coqs d’or], le dessinateur emprunte également le schéma des verrières au transept nord de Chartres, De nombreuses photographies ont été éditées. Elle est considérée comme un chef-d'œuvre de l'art roman de la France méridionale et fait l’objet d’un classement au titre des Monuments historiques depuis 1840. Document remarquable, ce cliché montre l’ancienne galerie qui reliait le palais épiscopal à la cathédrale, Aujourd’hui. Jeudi 5 mai 2011, vers 10h. 24 juin 2011, sur le pavage de la nef. Les grandes colonnes du chœur ayant éclaté sous l'effet des flammes, il fallut les cercler de fer et les noyer dans un massif de maçonnerie. Servant de fonds à des pastilles de miel, produites à Chartres. À la tête du monastère durant vingt ans (1087-1107), le grand abbé Bégon III déploya une intense activité de bâtisseur, faisant monter tout l'étage des tribunes dans l'église, et édifier également le cloître. Ce dernier, surhaussé par la suite d'un étage et surmonté d'une flèche charpentée, prit alors son aspect actuel. Vendredi 17 septembre : fête de la lumière. La restauration fut confiée à Etienne Boissonade, l'architecte du département, qui entreprit les travaux les plus urgents. Elle est considérée comme un chef-d'œuvre de l'art roman de la France méridionale et fait l’objet d’un classement au titre des Monuments historiques depuis 1840. Avec la mode des loisirs créatifs, ce choix est de plus en plus fréquent. Plusieurs ateliers de sculpteurs, en effet, se sont succédé ou ont exercé simultanément leur art, utilisant le grès rouge et le calcaire jaune en guise de matériau. Comme pour compenser la modestie de ses dimensions au sol, l'édifice se développa en hauteur. Au-delà, le sanctuaire proprement dit comprend une travée droite prolongeant en élévation la disposition de la nef, puis le fer à cheval du chœur coiffé d'une voûte en cul-de-four allongé. Plusieurs d’entre elles usent de la contre-plongée pour mettre en rapport remplage des roses et armatures des voûtes, Depuis une montgolfière - vue du quartier de la cathédrale, Depuis une montgolfière - vue du quartier de la cathédrale (2), Hubert Latham, un des pionniers de l’aviation, passe à proximité de la cathédrale, Clichés ‘Aérophotos’ - vers 1930 (1), Clichés ‘Aérophotos’ - vers 1930 (2), Clichés ‘Aérophotos’ - vers 1930 (3), Au-dessus de la base aérienne de Chartres, atterrissage d’un biplan, Côté sud, côté nord et façade principale de la cathédrale - vers 1970 (1), Côté sud, côté nord et façade principale de la cathédrale - vers 1970 (2), Côté sud, côté nord et façade principale de la cathédrale - vers 1970 (3), En couleur, côté nord et côté sud de la cathédrale - vers 1975 (1), En couleur, côté nord et côté sud de la cathédrale - vers 1975 (2), Clichés pris à l’aplomb de la cathédrale - 2008 (1), Clichés pris à l’aplomb de la cathédrale - 2008 (2), Clichés pris à l’aplomb de la cathédrale - 2008 (3), La banderole que présente Ben Sirach figurait probablement le texte du chapitre 47, verset 13 de l’écclésiastique, qui fait allusion à Salomon - situé en vis-à-vis - et à la construction du temple - représentée sur le socle, Dans le sens horizontal, en partie supérieure on voit encore son nom : IHS FILIUS SIRAC (Jésus fils de Sirach), Les parties hautes du transept sud ont été construites au milieu du XIII° siècle - quelques décennies après le reste de l’édifice, Le rampant du pignon est décoré de crochets à motif feuillagé. Il ne reste rien de ces bâtiments, Photographie - 1906/1907. Sur les corbeilles et les tailloirs, à côté des thèmes animaliers ou des anges, tout un monde de moines bâtisseurs, de guerriers, mais aussi d'acrobates et de montreurs de singes, fait revivre pour nous la société de ce début du XIIᵉ siècle. La surface disponible pour les constructions ne pouvait être que fort limitée. Les animaux sculptés : sous les pieds de la sibylle : portail nord, baie de droite. De ce fait, vue de la place Chirac, l'abbatiale paraît enfouie au fond d'une fosse, tandis qu'à l'opposé elle domine, de sa masse imposante, le cloître lui-même accroché au-dessus du ravin.