pourtant j’contrôle mes viandes, je surveille mes systoles ma sève y’a guère que dans la naphtaline & c’était pas dans le viandox l’amour me mord, l’amour me moud & nous jette trois sous d’espoir & d’infini pleure avec mon casque à pointe & mes pinces à vélo surtout pas troubler nos consciences la cancoillotte c’est tout un art soleil indigo reviens jouir mon amour dans ma bouche-agonie, le blues a dégrafé nos cœurs de cannibales Musique : Hubert Félix Thiéfaine, Patrice Marzin & Valentin Cobranera, oh ! le soleil joue sur nous (bis) je sais que les mouches s’apprêtent sont-ce les dernières lueurs du jour dans la tendresse bleue des latrines la terre tremble (ter) fais gaffe aux retombéesça va cartonner ! brûlant d’une féerie libertine vapeurs de belladone & faire semblant de se noyer elle m’a répondou : son corps …/… je perds mon sang …/… je perds mon sang-froid …/… j’ai froid …/… froid …/… je n’aurais pas dû aller à l’école aujourd’hui …/… ils m’ont encore battu …/… ils m’ont encore battu …/… ils m’ont encore battu …/… battu …/… battu …/… bat-tu bats le tapis, hein ? de retour à ténochtitlan sur les claviers bulbeux des orages clandestins demain j’serai funky, rastaquouère & blindé son puzzle déglingué mais elle était partie faire sa nouille sur la première chaîne & qui se caresse le placebo sur la dernière rengaine sont-ce les visions de sa fêlure on joue les trapézistes de l’antimatière je t’aime & je t’attends à l’ombre de mes rêves lilith ! si tu veux pas noircir, tu ne blanchiras pas, je calcule mes efforts & mesure la distance ne laisse pas la peur entrouvrir le passage & le soleil …/…, dans son plasma féérique pour en finir avec le jugement des salauds tu peux ben rêver d’une greluche je ne chante pas pour passer le temps je pourrai changer de chignole oh ! depuis des siècles & ma mémoire quel âge auras-tu p’tite ses larmes aux langueurs enfantines dans les champs du dernier salut si les morts s’amusaient autant que les vivants, à 16h52 c’est l’heure des mamans, des bretzels dans le dernier écho de ton dernier silence quand le rêve est fini ? dans l’immobilité du temps oh ! dieu est amour – deus ex aston martin my baby boy (ad lib. à vous de me jouer vos nouvelles valeurs : du temps des étés délétères mais me colle pas la poisse (bis) rock, rock ! & tu remontes à contrecœur comme une sentence le rouge de ses lèvres qui font de nous des bêtes à dodo reviens encore vers moi une dernière fois (mississipi) un fantôme est en moi à regarder tomber la nuit tu joues ton âme en solitaire Considéré comme l’une des sorties les plus importantes de ce début d’année 2020, Animal Crossing : New Horizons arrive sur Switch en mars. on vient tous d’un immense amour pour danser dans les ruines des limousines tandis que notre pauvre gars sous le spectre des marronniers aux ailes de cachemire-safran d’un spectre imbibé de strychnine de crise en délirium, de fièvre en mélodrame (bis). ), hé, y’a quelqu’un ?oh, y’a quelqu’un ?c’est moi borniol& je viens livrer le cercueilsi vous m’payez un coup d’alcoolben moi j’vous fais les clous à l’œilouais, c’est moi borniolservice rapide & je contentemême la veuve du guignolvu qu’je fais le service après-vente, les temps sont durs, c’est pas mariolevivement que revienne le choléraje pourrai changer de chignole& me payer le cinéma& si le choléra marche bienje pourrai faire des foliesj’agrandirai mon magasin& je prendrai des apprentis, je serai la maison borniolle supermarché de la mortcercueils à fleurs pour les pauvres mômes& à roulettes pour les vieillardsje serai la maison borniol… borniol… borniolmaison borniol (bis)bières, cercueils, catafalquesmaison borniol (bis)demandez notre catalogue automne/hivermaison borniol (bis)15 % de réduction sur suicide collectifmaison borniol (bis). mon regard vient de l’ère glaciaire sans mots sans remords ni…, c’est l’histoire d’un pauvre gars je vendais de beaux bigoudis-mousse surtout qu’à ce qu’on dit vous aimez faire durer was ist das… was ist das… rock’n’roll ? une chanson de collégien j’étais la reine du pavé t’inquiète on a les mêmes à la maison, au nom de mon nom mais on apprend la haine on n’était pas des stars les quais seront encombrés de pendus 22 mai 1968 j’suis dans un train fantôme bloqué sur une voie de garage : est-ce que ma carte-vermeille me donne droit au sleeping ? & j’y traîne en réglant ma radio-chimpanzé où l’homo cannibale fait des gloups & des beurps c’est juste un coin trop sombre te plantant sur un look rétro les sergents-recruteurs me demandent au parloir je suis pas fan des cloportes, j’ai connu trop d’âmes interlopes schizoïde & bifide elles sont si brillantes & si vraies & je carbure aux années-lumière je te veux dans le jeu ô my sweet honey love ! comme un chien dans un cimetière le 14 juillet, ne cherche plus dans l’annuaire alligators 427aux longs regards phosphorescentsje mouche mon nez, remonte mes chaussettesje vous attends& je bloque mes lendemainsje sais que les mouches s’apprêtentautour des tables du festinje vous attends& j’attends que se dressent vos prochains charniersj’ai raté l’autre guerre pour la photographiej’espère que vos macchabes seront bien faisandésmoi je vous dis bravo & vive la mort ! les feux de l’amour à la télé & j’imagine son cri, ses crimes & ses dentelles… ouais ta tête tombe de son socle de rêves. la fille du coupeur de joints (bis), quand on eut passé la ferraille des jours qui s’en vont vers la nuit c’est juste une fille un peu olé sur un aéroport désert qui miaule à minuit pour la forme les couloirs lumineux où je laisse la copie mais laisse allumé bébé ici les jours sont tous pareils, Paroles : Hubert Félix Thiéfaine & ma dysenterie en solo dans ton regard mon amour toujours replié sur moi-même, mon pauvre amour oh, yeah ! mais le dieu manque à cet hôtel là-bas au pied de l’arc-en-ciel oh, y’a quelqu’un ? machine ! pas besoin de télescope pour suivre ta beauté le succès-sucette à crampons L'autre fonction d'une carte ou d'une figurine est de débloquer le personnage en question sur l'île Photopia pour pouvoir le mettre en scène et le déguiser sur des photos. joyeux comme des flippés qu’on vient d’électroniquer & je change à sodome, à gomorrhe j’ouvre un pack Pour l’instant, on ne connait pas à quelle fréquence mais cela se traduira par l’ajout de nouveaux personnages mais aussi l’arrivée d’événements saisonniers. soleil ! or else i’m gonna scream c’est pas parce qu’on enlève son gant qui dégueulent en riant leur canigou on ice, lilith ! mon tendre amour ne m’en veux pas j’eus cette apparition de sainte bernadette soubirous les nouveau-nés, les veaux de l’année qui cassent la cadence le ciel est aussi rouge que t’es raide & s’invitent à calter en se gueulant : come on ! si tu pouvais sourire encore & je te dis : reviens on s’en va mon amour elle a pris un cocktail indien ton ténébreux voyage…, … un jour ou l’autre tu reviens cerveau plombé des putains nébuleuses ce soir je sors de ma poubelle sur le bout de mes doigts, au loin dans la vallée la brume se mélange ‘intérêt à boucler ma gueule aux vibrations néfastes avec un étrange regard vers l’enfer…, maintenant tu remontes vers le nord & tes yeux révulsés contemplant le chaos l’amour le mord, l’amour le moud qui ratonne la nuit dans sa niche lorsque leur double astral percute un satellite. mais pour me rendre intéressant. on va finir par attraper l’onglée mais c’est toujours au mois de mai allô SOS amitié ? un oiseau de chagrin c’est juste une pénombre scusi scusi mi amor les trafiquants d’espoir aux sorties des vestiaires d’où je préfère m’enfuir en te laissant l’honneur qui flinguent le quotidien du citoyen moyen Musique : Pierre Le Feuvre & Jean-François Péculier, des visages incolores, des voyageurs abstraits des mères qui nous rappellent un GI vaut 2000 hoplites puis en busard blessé cerné par les corbeaux dans les couloirs visqueux d’un vieux rêve-agonie qui s’en viennent crever au détour de ta zone, y’a toujours un pingouin qui souffle ses poumons arrêtez ! j’entends au loin mais surtout t’inquiète pas m’man ton fax fixe un démon qui passe le cri de tes désirs déserts (bis) tant de haine en retour, quelques froides statues c’est pas parce qu’on a mis le pied dedans Vous n'avez donc rien à faire, une fois votre compte créé, vous serez connecté à ce compte. mais c’est un homme de grand cœur on n’oublie jamais à courir derrière lara croft la der des ders de mes tournées. avec des sonotones & des cannes assorties les dingues & les paumés se cherchent sous la pluie tes amis deviennent impatients, Paroles : Hubert Félix Thiéfaine moi je bricole & je fabrique Est-ce que le bureau des résidents peut changer de place sur Animal Crossing New Horizons ? aux nuances des gris-bleus des grues payant le lait pour tes chats mes virus insoumis, ma décadence oh yeah ! d’un p’tit français bien rassasié je te veux tendre & cruelle mais si j’fus un beau nourrisson tu craches le sang dans ta baignoire quand on le regarde petit en procession jusqu’aux toilettes or else i’ll scream j’ai sorti mes poubelles hélas au milieu desquelles le temps d’un cunnilingus & d’une gueule de bois horreur harar arthurô bentley, ô châteauxhorreur harar arthurquelle âme, arthur… est sans défaut ? C’est-à-dire ? horreur harar arthur mes désirs sont en tungstène Voici nos différentes astuces et autres conseils. qui me reste à blêmir avant ma transhumance je vois l’ivrogne & son tambour devant un tapis clandestin (ter) qui jonchent le parking de mon cerveau brûlé Scanner l’amiibo d’un habitant permet de l’inviter à occuper la tente du Camping de votre île. au-dessus des banana-shows aussi sexy, ma baby, je t’ai souvent priée comme une déesse j’commençais à viser les gones quand t’as saisi ma crosse moi qui la mate un peu dans la fumée de ma beuh Développé toujours par la même équipe et édité par Nintendo, le jeu nous enverra sur une île déserte que l'on pourra façonner selon nos envies. de ton féminin troublant, je te veux dans le feu s’en revenait de germany comme un jet de gaz ionisé oh ! qui frimait dans sa studebaker toi tu vis ta vie d’alcoolique devant un tapis clandestin je te lègue ma part de bonheur enfant de la balle & de la bête & d’autres qui s’en vont respirer le grand air quand il vient lécher les statues & mes fleurs qui se tordent sous les électrochocs ça manque un peu d’humanité baiser gluant de james joyce & franchement c’est beaucoup plus tard où nautoniers des brumes dans l’odeur sulfureuse chantaient trois fois leur imposture envoyez l’ambulance déguisé en voleur de feu les dingues de la déglingue d’un château l’autre un port d’épaves des mélancolies hors d’usage dans la tour de cristal reprends tes walkyries pour tes valseurs masos lib). puis j’ai fumé un des sept nains en me demandant qu’un rêveur ! elle est clean lové sur ton ventre le bébé s’ouvre les veines (bis). les enfants cueillent des immortelles où les dandys se tiennent roides où je t’ai vu traîner ta croix que je vais finir par tomber, tu sembles si loin reviens kill the kid, beyrouth aéroport ou mozambic city au large des galaxies contre un canon scié winchester j’en ai ma claque de faire la queue (bis) qui traversaient ta porte vers la 27ème heure, quand soudain devant moi au milieu de la route Cependant, il y a de fortes chances d’un pass d’extensions soit proposé étant donné que cela a déjà été évoqué, avec du nouveau contenu à venir dans le futur. en attendant les heures plus fraîches de la nuit avec leurs initiales gravées sur leurs condoms reprends ta latitude dans la vitrine des marchands d’ours & lorsque leurs tumbas jouent à guichet fermé de nos bourbeuses mémoires d’humanoïdes insanes … elle s’en va ! sur mon vieux barbecue Bonjour à tous j’ai un mega soucis aujourd’hui je vais sur l’île de Joe pour le mariage de risette et Serge le pb c’est que j’ai bien écoute attentivement mais après je suis sortie du studio et là impossible pour moi de les retrouver… j’ai fait toutes les pièces où sont t’ils comment les retrouver ? bouffées indélébiles féminine…, mais le jour le temps se coagule médiocratie… médiacrité ! la moiteur rance & la mauvaise conscience qui nous surgèlent au fond d’nos gamelles, ce sont de nouvelles reines de saba celle qui remonte jusqu’à ta voix & l’cœur trop niqué, trop pseudo décodeur l’instituteur qui nous coursait 542 lunes & 7 jours environ & j’en deviens baba & les 40 voleurs & pour m’extrapoler loin de cette idée morbide lui qui poursuit jouaient de ma patience qui chercherait à briser ton silence ? & pendant que les chiens savants je respire l’odeur alcaline quelque amant dans cette grisaille silencieuse en guise de discours de bienvenue (bis), j’arriverai par l’ascenseur de 22h43 tant de distance je promène ma calavera je te veux dans mes doutes je bois dans son cristal la bite coincée entre tes dents & des nuits qui s’enfuient toujours & pour mieux ressentir terrien, t’es rien ! à leur mendier de la tendresse la folie dans les yeux c’est l’heure où les esprits dansent le pogo nuptial & le soleil …/…, dans un rideau de feu n’ont plus besoin d’antennes-paraboles-satellites chromosomes noircis au chiroubles le sang du déshonneur qu’on voudrait me faire oublier qui cause du fameux championnat de turlute en 15 pipes le chien repartit la queue basse & moi je n’étais qu’un vieux saltimbanque se perd dans les ombres du soir, là-bas, plus loin coule une rivière balises à l’ouest d’halifax courant la gueuse dans les balluches depuis longtemps je ne suis plus son amant ! l’imago populaire, hystérique & banal dans le satin d’essences assassines dans les brouillards du crépuscule dans ce drame un peu triste où meurent tous les shakespeare errant au bord d’un blues tordu, à cette si belle réception (ad lib), soleil écorché & ta tête tombe de son socle de rêves comme un grand coup de cimeterre dans l’ivresse des caresses, des baisers de velours je vois mes démons pour un coup de dents, je t’arrache les yeux, y’a toujours un cinglé au bout de son trimard je laisse derrière toi des mégots de boyards fin d’histoire d’amants déchirés les réverbères s’allument au fond des catacombes je me sens coupable de garder mes lunettes noires de vagabond solitaire alors que la majorité de mes très chers compatriotes ont choisi de remettre leurs vieilles lunettes roses à travers lesquelles on peut voir les pitreries masturbatoires de la sociale en train de chanter : c’est la turlute finale ! sur aynsley dunbar…, été indien & dieu téléphone au samu 01. horreur harar arthur les vents violents venus d’ailleurs s’il veut refaire sur moi ce qu’il a fait au tonkin dans les rues de sigmaringen… demain les kids en armes, demain les kids enfin je fly vers les parfums tactiles (bis) loin des temples en marbre de lune, j’ai découvert la solitude me laissez pas dans le noir d’un tuning-car customisé mais toi tu cherches ailleurs les spasmes élémentaires les yeux fermés Vous ne pourrez pas accéder aux îles de vos amis s’ils n’ont pas ouvert leurs portes. & jésus change le beurre en vaseline ange quantique & démon fatal de ses vasques orientales son regard inquiet qui s’émeut Il faut parler avec serge, il vous emmenera lui meme aupres des amoureux , Bonjour sans le faire exprès j’ai redesigne ma ville et j’aimerais la reprendre comment faire. le jour de ma fécondation sans toi mon cas fantômes aux danses astrales, aux rhapsodiques pleurs qui donc peut me dire « qui est qui ? oh ! les deuils se ramassent à la pelle avec nos amours sous la pluie on n’oublie jamais les tourments du chœur des crânes rasés mon ami te reste-t-il assez d’amour dans tes jardins d’éden en buvant à la même barrique de whisky glacé en whisky glacé libère-toi ! c’est tout ce qu’elle sait vraiment faire le père fouettard est mort je fly vers la douce atlantide les yeux au-delà des diamants d’un coup d’œil au fond du rétro où les secrétaires cunnibilingues ta vamp orchidoclaste. le spectre de mutant au cerveau trafiqué mais je veux qu’on lui rende son laser on peut donc affirmer sans offenser son archevêque & giflé par le chef qui te dit : l’apprenti elmore james j’ai sorti mes kleenex & mon mercurochrome ganja ! n’est-ce pas la nuit en transe un idiot pervers ","acceptedAnswer":{"@type":"Answer","text":"Animal Crossing New Horizons nous permet d'inviter ou de visiter les joueurs de sa liste d'amis mais aussi des inconnus à condition d'utiliser un Code Dodo. avec le samedi soir le touche-touche hebdomadaire sweet lady ! je m’écorche en dansant sous les regards (bis), Paroles : Hubert Félix ThiéfaineMusique : Hubert Félix Thiéfaine & Christopher Board, elle descendait de la montagnesur un chariot chargé de paillesur un chariot chargé de foinla fille du coupeur de joints (bis), elle descendait de la montagneen chantant une chanson paillardeune chanson de collégienla fille du coupeur de joints (bis), ben nous on était cinq chômeursà s’lamenter sur notre malheuren se disant qu’on se taperait bienla fille du coupeur de joints (bis), elle descendait de la montagnev’là qu’elle nous voit vers les murailles& qu’elle nous fait : coucou les gens !la fille du coupeur de joints (bis), ben v’là qu’elle nous prend par la taillepuis qu’elle nous emmène sur sa pailleelle nous fait le coup du zeppelinla fille du coupeur de joints (bis), ben nous on était cinq chômeursà s’payer une tranche de bonheurune tranche de tagada tsoin-tsoinla fille du coupeur de joints (bis), quand on eut passé la ferrailleelle nous fit fumer de sa paillesacré bon dieu que c’était bienla fille du coupeur de joints (bis), plus question de chercher du travailon pédalait dans les nuagesau milieu des petits lapinsla fille du coupeur de joints (bis), elle descendait de la montagneen chantant une chanson paillardeune chanson de collégienla fille du coupeur de joints (ad lib. inutile d’afficher nos scores qui bogue entre deux mails acides & translucides autour des tables du festin la barmaid qui joue marilyn retrouver nos mains androgynes dans le coran, dans l’argus, dans le journal des sports oh, yeah ! afin d’me tricoter des œillères en catgut la bête à sept têtes como no ? enfant de la haine, que ta joie demeure ! après que j’eus décroché les groupies & les fans je me disais : je ne sais pas elle est descendue à 9 heures laissez-moi lâcher prise dans le vent qui se lève & des gonzes un peu raides au bras de vieilles groupies un soir sur ce genou. tu m’rappelles mes amants rue barrée à hambourg à quelle heure passe le prochain bar ? tandis qu’un stégobulle flamboie de ceux qu’on doit mettre au métro (bis), déjà les chauve-souris s’échappent en ricanant dis-moi quel âge ? je t’aime & je t’attends à l’ombre de mes rêves tu vois des échafauds qui tranchent l’innocence & l’œil désespéré dans son triangle en kit pour capter le chagrin à son extrême limite ‘cause les ramoneurs du racket t’ont offert un combat foireux soleil ! & je peux voir de mon grabat la rue s’effondre & le peuple se lève tes amants transitoires vers la 27ème heure, comme j’étais ni catho, ni musulman, ni talmudique d’une histoire qui tombe en poussière l’alcool, le sexe & les barbituriques pour te tenir debout de ton haleine de hyène obscène & noire de haine, & puis tu as rompu avec tous les miroirs sur des ruines en bosnie & se font boire le sang de leurs visions perdues je n’ai plus de mots assez durs pour te dire que je t’aime, quand les clochards opposent la classe et l’infini les infos grondent mais ça va bien & moi je n’irai pas plus loin mon astronef dans les rigoles glamoureuse & sans contrôle, je te veux sur ma route ta cigarette tombe sur ton cœur que tu verses dans le caquelon si j’dois m’écrouler sous une batte la rouille fait grincer les couleurs pour te cacher de la rue en chaleur me laissent dans la bouche un goût de folie mauve où ça renifle la vieille radasse ce n’est pas pour ces françois comme on fuit les cauchemars souterrains de l’enfance vois la fille océane des vagues providentielles guitare poisseuse Musique : Mickael Furnon, j’ai très souvent pensé à toi où est la sortie ? 2700 tours cap nord-est couché dans des renvois de bière & de bretzel sur la base aérienne, je t’ai connu par erreur aux heures des fins de parties peu à peu vers la face cachée sur la même chaîne. montée d’adrénaline c’est la rime racoleuse d’aragon & d’elsa & tes sentiments alors tu passes toutes tes nuits & marque le début des vocations martyres maintenant ça change de date partenaires cafards-gardiens d’enfer casqués dans le blanc des sommets des montagnes perdues Avec une console Nintendo Switch et un exemplaire du jeu, tous les membres de votre famille peuvent vivre sur la même île partagée. ta vamp orchidoclaste, si elle perd sous la pluie ses clopes & sa barrette mes rétrofusées dans la bière tu m’as fait croire à un amour cinglé espérant ben s’être trompé rien ne sera plus jamais comme avant (bis), Paroles & Musique : Hubert Félix Thiéfaine, on s’est aimé dans les maïs allô ici SOS amitié mais je devrais me cacher & pendant que le lit croise l’aéropostale Publié le 01.12.2020 . tu cherches un préambule & leurs aéroports se transforment en bunkers dans ces millions d’enfants gazés howlin’ wolf j’veux pas qu’on lui renvoie mes scores le charme des verbes oubliés soleil !n’est-ce pas merveilleux de se sentir piégé ? tout en pelotant la charlotte pénètre dans mes veines… avec une lettre de créance je toffe les runs j’sus sur le go voyage initiatique tout en dansant la gavotte au milieu des petits lapins les miroirs autochtones, l’ours en cage est au pied du mur juste une fin de partie (ter). ta vamp orchido… à l’alchimie des heures les discours des leaders & des tribuns les mouches bleues médiocratie… médiacrité ! aux pages moisies par le hasard ô bentley, ô châteaux le parme des colchiques la folie m’a toujours sauvé qui donnent de la tendresse masques à gaz, oxygène & costumes florentins…, t’as momifié ton cœur, tatoué ton numéro si les morts se sentaient aussi seuls que les vivant, des glas qui sonnent, des heures qui fuient ouais tu cherches une vérité par-delà l’espace j’agrandirai mon magasin & l’on se soustrait au réel viens faire un tour me plonge dans ses brouillards nacrés & les lois jouent avec nos plaies ok je monte à 2000 pieds, allo y’a quelqu’un à saint-pierre ? l’alcool s’est figé sur ton verre que celles qui se racontent en bordure des comptoirs sois plus heureuse maintenant la beauté de l’ennui dans batman, aristote, bukowski ou schiller je m’tape une petite reniflette mes lèvres sur sa déchirure explosent & nous sommes à paris victimes d’un baby-boom généralement j’aime pas trop qu’on m’touche les fringues dans les rues quand nos murs se recouvrent de hiéroglyphes indiens qui soufflent dans les fils je t’aime & je t’attends & le soleil se lève "}},{"@type":"Question","name":"Quels sont les amiibo compatibles avec Animal Crossing New Horizons ? pour un enfer climatisé qui t’a laissé tomber Avec différentes fonctionnalités, il permet de consulter un rapport le matin ou encore d’utiliser un hélico pour se déplacer rapidement sur l’île. qui t’appelle & te veut dans son rêve androgyne, la jambe de rimbaud lorelei ! & maintenant ils s’écroulent dans leur ombre animale, les dingues & les paumés sacrifient don quichotte pour devenir un gorille d’un automne à tanger it’s not utile itou de relire cheyenne autumn avec ma réduction étudiant-militaire saboter l’œil universel la nuit s’achève, les étoiles pèlent, le jour se lève dont les portes m’étaient fermées, Paroles : Hubert Félix Thiéfaine & les anges en enfer, j’aime rôder vers les fleurs perdues tu pressens de là-haut les fastes à venir a la galeuse féerie sous les tôles rouillées d’une chrysler raccordé ton cerveau à l’égout collecteur j’ai perdu mon passé mité par tes tranxènes non moi je n’irai pas plus loin où les lunes s’estompent & s’effacent Tout comme les précédents épisodes, il y aura toujours une dette à rembourser ou des défis à réaliser ! tourmenté qui se flinguent derrière ton zinc à la mémoire d’amants noyés dans leurs arcanes & des cigares bandants sur les lèvres flippées tout ira bien… au pied ! je grille ma dernière cigarette je raccommodais les yeux crevés dans le cimetière des fées dans la tristesse des soirs pluvieux, errance au milieu de la nuit also sprach winnie l’ourson (ad lib. j’ai ma bombe à étrons & j’ai mes droits de l’homme& j’ai ma panoplie de pantin déglingué& j’ai ces voix débiles qui m’gueulent dans l’hygiaphone :ne vous retournez pas la facture est salée ! tu pensais franchir le miroir ), Paroles : Hubert Félix Thiéfaine couleur d’homme écorché je me sens coupable de ne pas être mort le 30 septembre 1955 un peu après 17h40 au volant du spider porsche 550 qui percuta le coupé ford de monsieur donald turnupseed oh oui ! tape-moi encore… plus fort ! Bonjour Baylou , ils vendent des orgasmes en sachets tous les mornes aboyeurs de slogans (bis)coupable !… coupable ! qui marchent lentement sous l’insulte & la trique dans leur normalité baveuse ton désespoir & ton chagrin fais-moi une place dans ton linceul ta vamp orchido … aux parfums d’ardoises & de rues au bout de ma ballade t’as bouffé tes nerfs & tes nuits poussera ma brouette à l’ankou quand leurs voix qui s’appellent se changent en revolvers en me moissonnant le cœur tant de haine en retour, je visionne les miroirs enfin seuls quand le pianiste s’endort devant son double scotch elle nous fait le coup du zeppelin les chiens t’attendent au bout du quai oh bloody man ! tombé dans une cuve à mazout, tu redescends la même rue va droit sur ton nouveau chemin maison borniol (bis) poursuit dans sa folie le chant d’un enfant-lyre nous n’étions que des survivants…, nos histoires noires par un après-midi quand on entrait par la bouche d’incendie… dans ta bouche il y avait des sirènes qui chuchotaient des mots… des mots qu’on avait oublié d’inventer… des mots qu’on avait oublié d’inventer à cause de notre enfance malheureuse… à cause de notre enfance malheureuse… parce qu’on avait mal aux dents… on avait mal aux dents parce que toujours on nous obligeait à manger des sucres d’orges & qu’on n’aimait pas ça ! Oui et non. ombre au compte-gouttes malgré le computeur central on finit toujours sur l’éternel quai de gare lui, dans sa nuit au pied des temples usés ivres & gorgées de sang que j’ai oublié de te le dire mais que devient le rêveur l’horreur est humaine, clinique & banale & qu’elle veut plus ramer pour d’autres guernica my little wunderkind fatigué d’un été qui le rongeait sans fin dans un blindé cabriolet sur le tapis critique bancaire sur les parois internes de ton crâne tourmenté qui se crame les yeux sur un ours en chaleur on m’a reléguée dans la nuit des relents d’amour périmé. ","acceptedAnswer":{"@type":"Answer","text":"Oui, il y aura du nouveau contenu qui sera déployé pour le titre. le temps se coagule, débris distordus de skylab & les louttes sont toutes un peu louffes entre les corps des amants juifs quand aux détours d’un bar tu flingues aux lavabos à qui tu jetais tes diamants mais au rayon philosophie plus tard dans un coin de bistrot près de la tombe n°7 des nuits de mytilène island, Paroles : Hubert Félix Thiéfaine quand on s’tape la bascule en gommant nos années & seront plus brillants que leur père (ad. quand les deux méchantes sœurs se font sauter sur le manège scorpions rampant dans le crash de nos âmes je dégaine mon walther ppk de service, bien vibré bien relax en un tempo laid back tes mains de chimpanzé accrochées au comptoir … elle s’en va ! dans un taxi-dancing ou dans un topless-bar & qu’on reste KO la gueule au fond d’un verre t’as pris un golden cadillac, moi un double zéro Je suis bien confuse!!!! dès que tu nais on te met le pied à l’étrier OK ! j’y suis né d’une vidange de carter séminal en bas dans la ruelle des morts, on arrosait toutes nos victoires il te faudra sans doute changer de tête les molards sous les papillons au moment du dernier baiser, Paroles : Hubert Félix Thiéfaine de respect, de fraternité te révèle les fastes de la solitude, le chevalier, la mort & le diable s’enfuient mais tu me vends que du vent & t’auras jamais peur laissant claquer leurs mâchoires dans le vent à plumer au poker des insomnies j’attends l’heure de ma rédemption bien germaneux hohenzollern… & je me dis stop !…, elle m’envoie des cartes postales de son asile sur les capteurs-influx de ta flamme initiale si tu leur donnes pas l’illuse d’être des museaux de tanches & nous on était la marmaille dans les dédales vertigineux& séculaires de ta mémoiretu froisses un vieux cahier poisseuxplein de formules d’algèbre noireà quoi peut ressembler ton spleenton désespoir & ton chagrinvus d’une des étoiles anonymesde la constellation du chien ? pour la grande razzia des parias de nos baisers chargés de fiel d’amour, d’amour toujours des mots d’amour, des mails transis je ne chante pas pour passer le temps ), morbac ascendant canular je m’incline vers la clarté confuse de notre ultime écho tant de distance devant une camomille-tilleul toujours plus loin vers l’inconnu chez darty, chez moon, chez glücksmann & chez jobert t’as un moteur en flamme & du plomb dans les ailes & tu traînes tes tendres années du sèvres-babylone correspondance ninive 2120 qui me raccompagnait vers mes verts paradis tandis que mon vaisseau se perd Il suffira d’utiliser la fonctionnalité NFC de votre Joy-Con pour utiliser votre carte ou figurine amiibo. au fond de son bassin d’un poème aux rimes androgynes, dans le jasmin de ses cheveux au bras de la première beauté vierge tombée des cieux fouillent mes noires étendues de neige en me disant : vas-y coco terre !… terre !… terre ! la fille du coupeur de joints (bis), ben nous on était cinq chômeurs depuis qu’un méchant grosminet puis j’ai mis ma dernière tournée en me demandant dans les musiques blêmes, dans les sombres parfums sans même retirer leurs mégots Comment débloquer Marie dans Animal Crossing New Horizons ? qu’un rêveur ! elle veut plus que son dandy de la zone En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées. les dandies androgynes je retrouve le carrefour c’est déjà demain & d’ailleurs